Ils ont joué pour la première fois ensemble à l'initiative de Jean-Mathias, sur la scène du Quartz à Brest pour le projet “Sula Bassana“ une rencontre entre l'Afrique et la Bretagne, ils se retrouvent quelques années plus tard, pour un duo électrique.
photo : Mido
enregistré en Juillet 2013 au studio Gimini 22 par Gérard Lhomme
producteur Empreinte/Gimini22 - réf : EM-SW-03
CD disponible chez Empreinte
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Après une série de concerts dans des situations diverses : Festival Jazz à Vannes, Gomené Jazz Festival, La Passerelle (Scène nationale de St Brieuc)...) l'orientation vers l'utilisation d'instruments électriques et d'effets, comme des pédales “vintage“, le Kaoss-pad, l'ordinateur... s'est imposée d'elle-même. Pendant les deux jours de l'enregistrement, le duo s'est mis en situations de concerts (sans re-recording ni répétition) qui ont donné plus de 7 heures de musique live, réorganisée pour la durée d'un Cd. La constante de ces séances d'enregistrement étant une improvisation non stop d'une heure environ à l'intérieur de laquelle apparaissent les réminiscences des compositions de Lydia Domancich et Jean-Mathias Petri. Ces séances reflètent les concerts qu'ils donnent depuis.
PRESSE
FMt - JAZZ MAGAZINE Janvier 2014
Avec deux “t“ et sans “h“. L’étrangeté ne s’arrête pas là sur ce CD sous-titré “Live en studio“.A l’aide de pédales d’effets, Lydia Domancich et Jean-Mathias Petri explorent la palette de leurs instruments, piano et Fender Rhodes pour elle, flûtes pour lui (du piccolo à l’octobasse), entre les surfaces glacées d’univers technoïdes, la salissure du souffle et des textures évocatrices des machines douces de Robert Wyatt.
Pat - Le Cri de l’Ormeau Janvier 2014
Ces deux -là se connaissent depuis longtemps et ont vécu des expériences musicales multiples, ensemble ou avec de nombreux partenaires nationaux et internationaux. Je me souviens d’un projet à eux au début du siècle intitulé Sula Bassana, croisement Bretagne-Afrique.
Là, ils se sont dit : “On se connaît bien. Enfermons-nous ensemble dans un studio pendant quelques heures et fonçons dans l’aventure musico-expérimentale à tendance électrique. On triera et on trouvera bien quelques quarts d’heure intéressants”.
Et c’est gagné ! En général j’aime beaucoup quand Lydia joue du vrai piano, et n’aime pas trop le Fender. Mais là, c’est un concept : électricité, effets, recherche.
Et on apprécie effectivement la belle osmose entre eux deux.
Jean-Mathias sort des sons tout à fait inédits avec ses flûtes, dont certaines rares (octobasse, électrofllûte...). Musique contemporaine plutôt que jazz, ça fourmille d’idées dont certaines pourraient être la base inspirante d’autres projets.
Gimini Music